La Terre de Feu : Philippe 65 ans, 73 Arith - Novembre 2024

Impression d’ensemble : inoubliable immersion au bout du bout du monde. Immensité et beauté rude, rencontres uniques avec les derniers gauchos.
 
Les paysages : entre océan vide et changeant, ciel vide d’avions et plein de vent et de beaux nuages de toutes formes, une nature redevenue sauvage après le temps des aborigènes disparus, des estancias dont les vaches et chevaux sont devenus sauvages après l’arrêt de l’activité d’élevage, des naufrages, de la chasse aux lions de mer. Forêts primaires, steppes, tourbières, plages, falaises…
 
L’intérêt culturel et historique : une courte mais violente histoire, celle des aborigènes massacrés, des naufragés, des gauchos aux conditions de vie très rudes, tout se lit par traces.
 
L’intendance : excellente logistique, rodée, pour fournir de bons repas froids le midi, chauds, abondants, délicieux, avec de bons vins le soir ! Nuits dans les anciens postes des estancias, confort suffisant pour de bonnes nuits.
 
Les guides : une attention, une gentillesse, une efficacité exceptionnelles, permettant un déroulé fluide, sûr, sans autoritarisme. C’est particulièrement appréciable.
 
Les chevaux : d’une bravoure et d’un calme exceptionnels même dans les plus rudes conditions, tourbières, plages de galets, platières rocheuses à marée basse, pentes fortes entre plages et plateaux.

NOTE : 20/20